Tourisme et Patrimoine

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"Ma ville prépare son avenir au quotidien"

Tourisme et patrimoine


11 ième Edition de la Fête du poisson : Une fresque en hommage aux valeureux avironneurs du Renouveau du Carbet. 


La Ville du Carbet et ses partenaires ont invité toute la Martinique à ces deux jours de fête autour des professionnels de la mer. 

Au programme : coup de senne, marché aux poissons, dégustations, activités nautiques, animation musicale.


Durant tout le week-end, la commune a vécu au rythme de la fête du poisson. Les festivités se sont déroulées , comme chaque année , sur la plage de Grand Anse où les professionnels de la mer ont proposé leurs produits frais ou transformés.


Outre la vente directe de poisson, l'organisation avait prévu beaucoup d'animations qui ont satisfait un large public.

Cette année, une fresque réalisée par les élèves du lycée Victor Anicet de Saint-Pierre a été dévoilée. Une réalisation remarquable qui met en exergue l’aviron traditionnel au Carbet. Cette 11e édition de la fête du poisson fut l'occasion de raviver une page d'histoire de la commune. Les organisateurs ont en effet choisi de braquer les projecteurs sur la grande époque de la course d'aviron (avec 4 rameurs et un patron).


A cette occasion , les familles des rameurs ont été mises à l’honneur..


Lors de l’inauguration de la fresque ,Mr Lucien SAINT JEAN THERESE ,1er Adjoint de la ville du Carbet , dans son discours , a remonté le temps de ces fêtes patronales marquées par ces courses de canots à quatre avirons. .


“C’était l’époque où les majors du « danmyé » rivalisaient de force et d'habileté au

son du tambour bèlè, le samedi soir, en ouverture de la fête patronale. Les « joupas » pavoisaient de leurs plus beaux habits ornés du rouge de nos flamboyants en fleurs. Les incontournables marchandes de quenettes, de gâteaux, de « sinobol » et autres douceurs se mêlaient à la foule du dimanche. Le « chouval bwa », l’âme de la fête, tournait au rythme enivrant de l'accordéon, du “ ti bwa “ et du“cha cha”. C’était l’époque où les courses de canots à quatre avirons assuraient le succès populaire des fêtes patronales de la côte Caraïbe. Les Carbétiens, fiers de leur

canot, « Le Renouveau » , se déplaçaient en masse afin d’encourager ces valeureux coursiers qui, de Schoelcher au Prêcheur, enflammaient le bord de mer en se livrant à des confrontations mémorables suivies par un public passionné.


LE RENOUVEAU , cette embarcation, façonnée par le maître charpentier, Adrien

PINARD, était considéré à l’époque comme une véritable révolution dans la fabrication des canots à quatre avirons. Il faut dire qu’avec les matériaux de l’époque on n’avait jamais réussi à fabriquer une telle embarcation, moins lourde, qui alliait

vitesse et équilibre avec une coupe qui forçait l’admiration.


LE RENOUVEAU allait très vite, donner une nouvelle dimension à la compétition. D’autres embarcations viendront rivaliser avec le canot du Carbet en offrant ainsi des compétitions de haute tenue qui draineront des foules considérables durant cette période mémorable des années 60 - 70 .


Ces hommes qui ont été les acteurs de cette belle épopée méritent notre profonde reconnaissance. Ils ont montré la voie aux générations futures en portant bien haut ces valeurs qui mènent à l’épanouissement personnel : le goût de l’effort, le courage

et la solidarité. Leurs noms resteront gravés dans l’épopée du sport au Carbet.”

- Adrien PINARD, Maître charpentier

- Maurice MARTIAL, le patron , surnommé "POZUITE "


Les rameurs : Axel ARMANT, Alfred CARBETI, Denis DACLINAT, Albert DUSSIEL, Marceau DUSSIEL, Albani EMILE, Emilien EMILE, Léon GEMIEUX, Théophile GEMIEUX, Joseph RACAMY, Albert TATLOT….


RESPÉ BA YO


Patricia Palmont, 3e adjointe au maire, créatrice de la manifestation :


“Nous avons lancé cette manifestation il y a 11 ans et, depuis, elle est allée crescendo d'année en année. L'adhésion des professionnels de la mer et

des artisans n'a cessé de se renforcer et tous contribuent fortement à la réussite de la fête. Cette année, nous proposons deux journées

d'animation.

Cela n'a pas été facile à mettre en place mais, heureusement, les partenaires institutionnels font confiance à la ville du Carbet et nous

apportent un soutien financier et logistique. Nous remercions les communes voisines pour leur aide.


Avec mes collaboratrices, nous avions concocté un programme qui a plu à

un maximum de personnes. La manifestation a comporté un volet commercial, culinaire mais aussi artisanal et artistique. Tout un chacun a pu passer de très bons moments à la fête du poisson, en famille, seul ou entre

amis.


La fontaine du CARBET : l’unique à fonctionner à l’eau de rivière !!


La Fontaine en fonte et en pierre , érigée en 1864, avec un bassin octogonal en pierre et une grille en fer forgé est située sur la place Jules Grévy (1807-1891), avocat républicain. Ce dernier a débuté sa carrière politique à la faveur des évènements de 1848 , année de l’abolition de l’esclavage en Martinique. Cette fontaine érigée durant la mandature de Charles Decasse , maire du Carbet de 1860 à 1866 , porte le nom de ce dernier. 


Le visiteur qui fera un détour par la place Jules Grévy , s’arrêtera quelques instants devant cette fontaine en fonte , implantée dans un bassin octogonal constitué de pierres et comportant deux vasques à motifs floraux. L’ensemble est entouré d’une grille en fer forgé. 

On remarquera sur le portillon cette plaque commémorative portant les initiales S.C du nom de Scholastique Célestin qui fut maire de la commune du Carbet de 1882 à 1890.

Cette fontaine régulièrement entretenue est en parfait état. Elle est alimentée par cette eau de la rivière acheminée par le canal longeant la rue Perrinon et la Mairie. Elle a fait l’objet d’une rénovation de la maçonnerie et de la ferronnerie en 2006.


Des sources d’eau douce ou « fontaines naturelles » étaient utilisées durant la période amérindienne en Martinique. Quelques fontaines bâties au XIXe siècle nous servent encore de repères. Certaines, apparues au XXe siècle, nous montrent une diversité de formes et de matières originales. 


D’autres, plus récentes, nous proposent des techniques plus modernes et élaborées : fontaines sonores, lumineuses, ou à jets chronométrés. Plusieurs d’entre elles ont été transformées en jardinières au fil du temps ou ont tout simplement disparu. Chaque histoire de fontaine correspond à celle d’un site qui s’est développé à un moment donné, en bénéficiant de l’animation de cet ouvrage hydraulique.


 Par conséquent, laisser l’histoire des fontaines de Martinique dans les méandres de l’oubli reviendrait à ne plus se remémorer l’évolution de notre territoire et de son cadre de vie. Quand une fontaine disparaît, c’est un peu l’âme de l’espace qu’elle animait qui s’en va avec elle. Alors prenons le temps de les observer, de les valoriser, de continuer à en faire des vecteurs de sociabilité, de les considérer comme des patrimoines de notre cadre de vie à préserver grâce à nos meilleurs dispositifs de protection.


De nos jours, les fontaines continuent à jouer un rôle important dans l’animation des lieux tant par leur présence que par le fait qu’elles constituent un point de convergence, aussi bien pour les 17citoyens que pour les commerçants et artistes. Les fontaines se répandent de plus en plus dans les espaces privés, les logements ou les entreprises (centres commerciaux, hôtels, cliniques, etc.). Elles se retrouvent aussi bien en extérieur qu’en intérieur, avec des gabarits allant de l’objet posé sur un meuble à la fontaine monumentale. Elles offrent souvent une fonction de relaxation et de détente.


Plusieurs fontaines «historiques» de la période f in XIXe siècle - début XXe siècle sont encore visibles en Martinique. Elles sont généralement situées sur des places publiques comme celles des communes du Carbet, Case-Pilote, Fort deFrance, Le Gros-Morne, Le Lamentin, Le Robert, La Trinité, Rivière-Salée et Saint-Pierre.

TOURISME : l'ex Marouba du Carbet et l'hôtel Club des Trois-Îlets ont trouvé des repreneurs


L’ex Marouba du Carbet et l'ancien hôtel Club des Trois-Ilets, ont trouvé des promoteurs pour une remise en activité. L’appel à projet qui avait été lancé en 2017, connait son épilogue, après "5 ans de procédures rigoureuses" validées par la Collectivité Territoriales de Martinique (CTM).


Le dossier était suivi par l’Etablissement Public Foncier Local de Martinique (EPFL), présidé par Arnaud René Corail, par ailleurs maire des Trois-Ilets.


Un 4 étoiles aux Trois-Îlets

L’hôtel Club des Trois-Îlets était à l'arrêt depuis14 ans. Aujourd'hui, le premier magistrat, Arnaud René-Corail est ravi, du fait de cette reprise par le Groupe Zénitude pour un investissement de "7 à 8 millions d’euros".


11 ans après une liquidation judiciaire, cet argent frais servira à la construction sur le même terrain, d'un complexe 4 étoiles, lequel devrait acceuillir ses premiers clients en 2025.


C’est un atout de plus pour la région la plus touristique du territoire avec une quarantaine d’emplois directs à la clef. Les promoteurs présenteront leur projet en mairie à la fin des grandes vacances.


Arnaud René-Corail - Maire de la ville des Trois-Îlets


Un 4 étoiles aussi au Carbet

Pour le Carbet, sur les 9 dossiers déposés à l’EPFL, c'est le projet "Sapotille" défendu par le Groupe Nexalia & Partenaires qui a été retenu par la CTM. Un peu moins de 15 millions ont été mis sur la table pour transformer l’ancien 3 étoiles Marouba en 4 étoiles de luxe, avec SPA et Thalassothérapie alimentés par la mer des Caraïbes.


Ce projet prévoir de s'"insérer dans son environnement, avec une ossature en bois et l’utilisation de l’énergie solaire". Cela faisait 8 ans que la reprise de ce site du nord était attendue.


Nous sommes heureux que le cahier des charges ait été respecté concernant cette structure qui ne sera pas "all inclusive". Les 14 restaurants du Carbet pourront bénéficier de cette nouvelle manne touristique et on annonce près de 30 à 40 emplois créés.


Jean-Claude Ecanvil - Maire de la ville du Carbet


Reportage : Martinique la 1 ERE


Patrick Baucelin présente son film « An tan lontan


Un peu plus d’une centaine de personnes ont répondu à l’invitation de la municipalité, samedi dernier, lors de la projection du film « An tan lontan » réalisé par Patrick Baucelin. Le documentaire retrace la vie aux Antilles de 1860 à 1960.


«Pendant la préparation du film, la ville du Carbet a accueilli la production pour un tournage dans la rivière avec la séquence des lavandières, indique Patricia Palmont 3e adjointe au maire en charge des événements. La population est en attente de ces films qui rapportent l’histoire du pays, surtout lorsque c’est fait de façon si magistrale. »


 Le public, composé principalement d’adultes, a été particulièrement émerveillé par le film. Il est vrai que pour certains, des passages du film rappellent leur enfance. Les plans dans la limpide rivière du Carbet et les lavandières qui blanchissent leur linge sur les roches font remonter des souvenirs.


A la fin de la projection, le réalisateur a échangé avec le public. Des questions très pertinentes ont été posées sur la provenance des extraits en noir et blanc, sur le choix des acteurs, sur la diffusion partout en Martinique et particulièrement dans les écoles. Des interrogations qui ont permis à tout un chacun d’avoir de bonnes informations sur la production d’une telle œuvre. « Revenir sur les lieux du tournage avec le bébé achevé et avec de bons retours des spectatrices et spectateurs, cela permet de recharger les batteries », confie Patrick Baucelin. « J’ai beaucoup apprécié les interventions du public qui ont permis d’excellents échanges. Ce fut un très bon moment de partage en cette fin de vacances, un peu comme une clôture », souligne à son tour Patricia Palmont.


Article : G.M


Une borne pour valoriser le patrimoine du Carbet

 Vendredi 14 janvier 2022, une borne interactive a été installée en Mairie par la société VIP STUDIO ANTILLES 360 dirigée par Mr Thierry MASLIN.


L'installation de cette borne s'inscrit dans le cadre d'un projet de valorisation du patrimoine culturel, historique, naturel, touristique des 8 communes du Nord Caraïbes. Ce projet initie par la collectivité territoriale de Martinique prévoit la création d'une plate-forme digitale avec la mise en valeur des sites remarquables.


Ce projet a pour vocation de promouvoir les 8 communes du Nord Caraïbes avec la création d’une plateforme digitale avec la mise en valeur des sites remarquables intégrant du contenu au profit d’un tourisme plus expérientiel à forte valeur ajoutée.


Les bornes digitales sont une excellente manière de capter l’attention du public et de faire circuler son message. Les consommateurs aiment faire leur propre recherche sur les produits disponibles via un écran tactile ce qui vous informe automatiquement à propos de leurs intérêts.


Les technologies digitales sont devenues un élément important de l’expérience utilisateur. Et nous sommes convaincus de la nécessité de s’approprier le digital dans la proximité, sur la base de territoires vécus.


Un lien internet sera créé et permettra au public d'effectuer des visites virtuelles sur le territoire de la commune.

La Ville du CARBET, Terre de Culture : Escale au Centre d’Interprétation du Patrimoine Paul GAUGUIN


En cette fin d’année 2021 le Centre d’Interprétation du Patrimoine Paul Gauguin ,  à l’Anse Turin , vous invite à découvrir l’exposition “REVELATIONS” de l’artiste Olivier FONTEAU jusqu’au 21 Janvier 2022.  Outre cette exposition vous pourrez admirer en mode virtuel et en 3 D une magnifique collection des tableaux de Paul Gauguin.


Votre visite se poursuivra par un grand moment d’émerveillement face à la projection en 3 D de cette reconstitution de l’ancien théâtre de la ville de Saint Pierre. C’est un voyage dans le temps qui vous ramènera à l’année 1901 où Saint Pierre , ville culturelle , accueillait les plus grandes troupes de théâtre qui faisaient escale dans la ville martyre. Il s’agit d’une création de Martial BAZABAS, professeur d'infographie au Campus Caraïbéen. Cette magnifique restitution a débuté en fin d’année 2014 avec un groupe d’étudiants du Campus Caraïbéen autour du professeur BAZABAS. 


Lors de votre visite vous pourrez également avoir accès à la salle d’expositions temporaires d’artistes et artisans locaux et Caribéens.  Ce sera aussi l’occasion pour les petits et les grands de vous tester sur les bornes de jeux multimédia interactifs


Le Centre d’Interprétation du Patrimoine (CIP) Paul Gauguin, situé au Carbet, est une structure qui appartient à CAP NORD Martinique (Communauté d’Agglomération des Pays du Nord de la Martinique)  et gérée par l’Association Martiniquaise Paul Gauguin.

Cette association à but non lucratif (loi 1901)  présidée depuis 2011 par Simone Jos-Guillot est composée d’une quarantaine de membres actifs et d’une salariée. 

Elle met tout en œuvre pour moderniser et redynamiser l’ancien musée Gauguin.


Créé en 1973, le Mémorial Musée Paul Gauguin fut dirigé pendant près de 40 ans par Maïotte Dauphite. Cette grande figure du patrimoine martiniquais a eu le grand mérite de faire connaître l’importance de l’œuvre martiniquaise du peintre Paul Gauguin. 


Le CIP est composé de cinq espaces situés dans un cadre naturel agréable : un accueil-boutique, une salle d’exposition permanente consacrée à Gauguin et Laval, une salle multimédia de jeux interactifs, une salle d’expositions temporaires et enfin un espace dédié aux ateliers de création artistique.


L’Association Martiniquaise Paul Gauguin propose tout au long de l’année une série d’activités « Hors les murs » non seulement au Carbet mais dans les autres communes de la Martinique : ateliers artistiques et créatifs, causeries, expositions, projections, interventions dans les écoles … 


JOURS DE VISITE : Dans le respect des consignes sanitaires : Pass Sanitaire obligatoire.

Mercredi, vendredi et samedi de 9h30 à 17h

Mardi et jeudi pour groupes et sur réservation


Centre d’Interprétation Paul Gauguin – ancien Musée Gauguin, Anse Turin, Le Carbet, 0596 51 53 13, 0696 80 80 96, 0696 48 89 20, contact@paulgauguinmartinique.fr

La Point de vue de l’Anse Marigot au Carbet : Un site chargé d’histoire


Après le Carbet , en direction de Bellefontaine sur la côte Nord Caraïbes de la Martinique, vous aurez le souffle coupé par ce nouveau point de vue aménagé. Arrêtons-nous un instant sur l’histoire de ce site.


Un point de vue exceptionnel…


Par beau temps, vous apercevrez dans le lointain l’île de Sainte-Lucie. En contrebas, s’étale le versant côtier de Fond Capot. Sur votre droite, les anses et lieux-dits « Pointe de la batterie », « Anse Marigot » et « l’Anse Pothiau » avec sa belle plage de sable noir.


A 360°, ce point de vue vous offre quelques beautés du Littoral Caraïbes.

Ce site est propice à la tranquillité et à la détente. Ce nouveau spot photo inédit créé par « Valorisation Martinique » , une structure en forme de coeur , est venu renforcer l’attractivité du site  en ce début d’année 2021.  


La municipalité a souhaité un immense cœur en matière naturelle pour se fondre dans le site.


 Selon Patricia Palmont, élue en charge du développement économique : « Cette installation permettra d'offrir une identité plus forte à la ville. On a réfléchi ensemble au projet. On a décidé que ce serait autour de l'amour avec un cœur , celui des Carbétiens prêts à accueillir la population martiniquaise et attirer encore plus de touristes » 


Mais savez-vous qu’ en contrebas de ce site se dresse un vestige de la guerre appelé « Pointe Batterie ».


Les vestiges de cette batterie d’artillerie témoignent de la défense côtière de la Martinique. Cette fortification était nécessaire dans un contexte de fréquents conflits avec la flotte anglaise afin de faire face à la piraterie.  


Dès le 18 ème siècle , une batterie a été édifiée à Fond capot ,  sur la commune du Carbet, afin de défendre le site. Celle-ci fera l’objet d’une reconstruction au XIXe siècle. C’est une batterie à barbette composée d’une plateforme de tir et d’un parapet. Il lui est adjoint un petit magasin à poudre avec une voute  “à l’épreuve des bombes”.


Une première batterie fut édifiée au même emplacement mais elle fut détruite au début du 18e siècle. La batterie actuelle fut construite à partir de 1728 et fut en service jusqu'à son abandon en 1873. Elle se situe actuellement sur le domaine forestier littoral de l'Etat.


Cette édification dont le parapet s'élève à une hauteur maximale de 3 m est bien conservée. Elle se situe au Nord Ouest du quartier Fond Capot en bordure d'une falaise dominant la mer. Deux puits , bien que comblés en grande partie , sont  visibles avec leur bordure en brique crue ainsi que le pavage en pierre.


Ce vestige à la Pointe Batterie à Fond Capot est à découvrir. Faites preuve de prudence quand vous vous y rendez.


Vous pouvez le découvrir sur le net en 3D 


Notre Histoire : Les canots de poste

Jusqu’en 1830, les habitants des campagnes ne disposaient d’aucun service de distribution des lettres à domicile à la différence de ceux des villes, qui en ont bénéficié progressivement depuis la fin du 18 ème siècle.


En Martinique , l’année 1835 verra la création des canots de poste qui relieront  les communes du littoral. D’après un extrait de l’arrêté du 06 mai 1835, une police des canots de poste voit le jour. 


Les canots de poste de Fort Royal ( Fort de France) sont numérotés à l’avant de l’embarcation en rouge sur  fond blanc alors que les canots de Saint-Pierre, eux , sont numérotés en noir sur fond blanc. Dans les campagnes, les adjudants de police remplissent la fonction de buralistes. 


Au Carbet, deux postes de stationnement de canots de poste sont érigés. Rappelons qu’avant 1848, le prix d’une lettre correspondait à une demi-journée de travail d’un ouvrier.


Les canots acheminaient le courrier deux fois par jour, de grand matin et l’après-midi. Les lettres pouvaient être remises à toute heure, soit de jour, soit de nuit par une ouverture pratiquée sur la devanture des bureaux de poste des villes. Et dans le regard à l’extérieur, les canotiers postiers récupéraient les sacs de courriers partant pour l’Europe pour les acheminer vers Fort Royal pour un départ sur les navires. 


Mais avec la Révolution, le privilège de la ferme générale des postes est supprimé. Les postes seront désormais directement gérées par l’Etat. C’est à cette époque qu’apparaissent les premières malles-poste, qui, en plus du courrier, peuvent transporter des passagers.


Guadeloupe et Martinique étaient les deux territoires postalement les plus actifs de l'empire colonial français. Ils ont ainsi absorbé 83% du premier tirage des timbres "aigle". A partir des statistiques de diffusion de ces timbres, le trafic postal martiniquais peut être estimé à 2 200 lettres par semaine durant la décennie 1860.


Au milieu du XIXe siècle, le courrier se démocratise un peu plus grâce à la réduction conséquente du prix de la lettre quelle que soit la distance parcourue. A cette même période apparaît le célèbre timbre-poste qui marquera l’histoire de la poste.

Tourisme : Le Carbet a son nouveau spot photo !


A l’initiative de la Ville du CARBET, qui se tourne vers l’innovation et pour avoir une visibilité à l’internationale, la municipalité a demandé à l’entreprise «  Valorisation Martinique » d’installer un  spot photo sur les hauteurs du Morne aux Boeufs précisément au point de vue de l’Anse Marigot.


Ce spot fabriqué à partir de matières naturelles est le premier dans le Nord Caraïbes. Il  a pour objectif de contribuer au rayonnement et à l’attractivité de la ville. Cet ouvrage original est un appel du coeur de l’ensemble des Carbétiens invitant la population Martiniquaise et les touristes à visiter leur ville. 


Ludovic Seriné et Christian Jean-Alphonse sont les concepteurs de cette belle dynamique. Ils ont déjà installé des spots photos sur plusieurs sites du sud de Martinique. On a pu voir, depuis , cette diffusion massive de prises de vue sur les réseaux sociaux. Une façon de contribuer au rayonnement de notre île partout dans le monde. 


Des balançoires, un nid d’oiseaux... et aujourd’hui un cœur  au Carbet. Ce sont quelques exemples de sites aménagés par ces jeunes Martiniquais désireux de contribuer au rayonnement de l’île à l’international  sur les réseaux sociaux.



Christian Jean-Alphonse : “ Nous sommes heureux d’avoir été sollicités par la Ville du Carbet pour ce concept. C'est une bonne chose pour le Carbet, mais encore plus pour le Nord Caraïbe. Je suis amoureux de mon île. Je me suis posé la question de savoir comment mettre en valeur mon pays  de manière originale, sans trop de dépenses. Au début ça a été une balançoire dans l’eau, avec en perspective le rocher du Diamant et ce morne dit la  "dame couchée". Et c’est ainsi que l’aventure a débuté. Nous avons besoin de volontaires pour poursuivre cette belle aventure. J’en profite pour inviter tous ceux qui le veulent bien à  mettre leur savoir-faire au service de leur île.


Nous recherchons des paysagistes , maçons , charpentiers , techniciens BTP ainsi qu’une secrétaire. Pour nous contacter , laissez un message en DM sur notre page facebook : https://www.facebook.com/valorisation.martinique ”


Exposition : 12 voies de l’amour au Carbet


Le week-end de la Saint-Valentin, l’artiste Olivier FONTEAU a été accueilli au Carbet pour une exposition originale :  «  Les 12 voies de l’Amour ». Des tableaux ont été fixés sur les murs de la Galerie Pory Papy. 


L’artiste nous explique que l’ensemble de l'œuvre exposée représente en quelque sorte un manuel d’élévation , de reconstruction des cœurs brisés par le biais de dessins méditatifs à colorier. Un  livret explicatif de chaque voie est mis à la disposition du public pour  une méditation guidée.


C’est une création du sceau de l’amour pour tous les êtres qui souffrent ou veulent se relever d’une situation douloureuse. C’est une invitation à tous ceux et à toutes celles  désireux de partir à la recherche du bonheur , de la vibration cosmique et terrestre de l’Amour Originel.


Ce manuel a été rédigé le jour de la dernière éclipse solaire de 2020 en 21h12mn d’un seul jet, dans une dévotion totale. 


La pluie de ce dimanche après-midi a quelque peu perturbé la cérémonie de présentation en extérieur. L’exposition est toujours visible sur des panneaux fixés sur les murs de la galerie Pory Papy.

Olivier FONTEAU, est un  artiste peintre, notamment dans le domaine du street art. Il est également  sculpteur.  Il a commencé très jeune dans le dessin puis a pratiqué la photographie. Il a fait des études d’architecture avant de revenir à la peinture et à la sculpture qui constituent pour lui une véritable passion.


Olivier FONTEAU : « Un grand merci à la Ville du Carbet à Monsieur le Maire, Patricia Palmont et les autres élus qui m’ont accompagné pour lancer cette exposition en Cœur de Ville. Je tiens  à les remercier pour leur adhésion à ce concept de  Ville d’Amour, tournée vers le Cœur, vers la Renaissance. L’histoire du Carbet est très symbolique car durant la dramatique éruption de la Montagne Pelée en 1902, une partie de la ville a été rasée, détruite, réduite en cendres, comme un cœur qui se brise, comme une séparation forcée. La symbolique d’y installer mes “12 Voies de l’Amour “ et ce manuel  de Renaissance des Coeurs prend une autre dimension. Je pense d’ailleurs à être un futur habitant de cette accueillante ville”


Bout Bois : Un Koudmen dans la tradition « Lasotè »

Bout Bois : Un Koudmen dans la tradition « Lasotè »

Durant les jours gras du Carnaval, Georges HIERON agriculteur a tenu à faire un lasotè sur son terrain. Ils ont été nombreux à venir lui donner cet élan pour travailler sa terre. Georges HIERON est membre de l’Association » Lespri Lasotè ».


C’'est avec un grand plaisir qu’il a accueilli les volontaires pour ce labourage dans les hauteurs de Bout Bois.


Cette initiative fera surement  des émules !! La solidarité et le partage étaient bien présents au coeur de ce “lasotè”déjà programmé il y a de cela quelques mois mais reporté en raison de la pandémie. Ce coup de main, a pour objectif de créer un espace maraîcher dans ce lieu dit  «  An Pak » à Bout Bois. L’entraide agricole a joué à plein régime avec les valeureux membres de l’association Lespri Lasotè présidée par Jean-Pierre MAURICRACE et tous les sympathisants. 


Ce sont les « poto mitan » du lasotè en Martinique qui encadrent des jeunes et des moins jeunes qui pour la première fois participent à un Lasotè :

 

Tristan NOLEO : « Pour moi c’est bien la première fois que je participe à ce genre de rendez-vous agricole. Manier une houe, ce n’est pas de tout repos !! Mais j’apprécie. J’aime le rythme et la façon dont tout le monde casse la terre en même temps. Je trouve cela magnifique. Je pense que le son du tambour joue un rôle essentiel dans l’esprit lasotè. A refaire !! »


L’exploitant du terrain, Georges HIERON remercie tout le monde de cet élan de solidarité et de partage. Et pourquoi ne pas retrouver cet état d’esprit entre exploitants ou entre particuliers. L’expression “yon a lot” devrait prendre tout son sens.


Georges HIERON : Exploitant agricole : « Cela a été une belle matinée. Je pense organiser dans les jours prochains un « samedi de plantation »

Ce coup de main permettra à Mr HIERON de continuer à fructifier ses produits agricoles pour le bonheur de tous les consommateurs.

La distinction « Qualité Tourisme Martinique » au Centre d’interprétation Paul Gauguin


Le Centre d’interprétation Paul GAUGUIN a reçu en cette fin d’année 2020 la distinction «  Qualité Tourisme Martinique » Une appréciation qui met à l’honneur cet établissement qui œuvre pour la Culture et les Arts.


Cette structure qui a été réhabilitée et redynamisée est depuis quelques temps un lieu incontournable pour le tourisme et la culture. Le centre a su mettre en exergue le patrimoine immatériel avec les œuvres de Paul GAUGUIN , cet artiste universel qui a séjourné près d’un mois au Carbet. Il faut rappeler que l’expérience Martiniquaise fut un tournant dans la vie de l’artiste comme on a pu le constater à travers ses oeuvres inspirées de son passage dans notre île.


 Parallèlement à cette mise en lumière des oeuvres de l’artiste , le Centre d’Interprétation a su mettre en avant le patrimoine sensoriel par l’utilisation appropriée des nouvelles technologies. C’est ainsi que les visiteurs , notamment les plus jeunes , peuvent parcourir les oeuvres de Gauguin en 3D dans un espace multimédia ludique et interactif .


 La Présidente du Centre, Mme Jos met tout en œuvre pour amener la Martinique à l’étranger à travers les œuvres de Paul GAUGUIN. Au cours de cette cérémonie elle a rendu hommage à Mme Mayotte Dauphite , la créatrice de cet espace qui fut d’abord un musée dédié aux oeuvres de Gauguin. Mme Dauphite , à l’époque , s’est heurtée aux pires difficultés pour convaincre de l’intérêt de créer un espace qui marquera le séjour d’un artiste dont certaines oeuvres sont un témoignage passionnant du patrimoine et de la société Martiniquaise de la fin du 19 ème siècle.


Cette distinction “ Qualité Tourisme”  fédère la démarche qualité des hôtels, restaurants, lieux de visite , activités sportives et de loisirs, commerces et visites guidées en Martinique.

Le Centre d’Interprétation Paul GAUGUIN a obtenu la note  94 !!


Pour la présidente de l’Office de Tourisme Communautaire , Mme CASIMIRIUS : « A travers cette distinction, c’est une valorisation qui s’inscrit dans les orientations de CAP NORD. Le développement économique du Nord passe par le développement du tourisme. Le Centre d’Interprétation qui met en évidence cet artiste universel , contribue au développement de la culture et la mise en lumière de notre patrimoine. 


Aujourd’hui il est plus que jamais nécessaire de valoriser notre patrimoine et de faire la promotion de tous les atouts touristiques du Nord  pour attirer les visiteurs. “



L’ancien marché du bourg inscrit au titre des monuments historiques


La mise en valeur du patrimoine joue un rôle dans la construction historique des mémoires. En revalorisant notre patrimoine nous invitons l’ensemble des Carbétiens , notamment la nouvelle génération , à mieux comprendre comment la société dont nous sommes originaires s’est organisée pour survivre avec son énergie et son courage.


Le bourg du Carbet est porteur d’une histoire et d’une identité  à travers des lieux classés réhabilités par les différentes municipalités : l’église Saint Jacques  bâtie en dur en 1776 avec sa façade baroque du 18 ème siècle , le presbytère qui a subi des dommages importants lors du tremblement de terre de Janvier 1839 , le Tombeau de la Dame Espagnole dont l’intérêt se situe dans les légendes qui l’entourent. 


Situé au cœur du bourg , l’ancien marché, outre son rôle socio- économique important au début des années 50 ,  est une construction digne d’intérêt en raison de sa structure  en bois et de son architecture qui est un mélange entre le style créole traditionnel et le style Baltard. Ce marché rythmait le quotidien des Carbétiens qui venaient familièrement s’approvisionner chez ces marchandes des Pitons , de Bout Bois ou du Morne Vert. Les épiceries ,  bazars ,  boulangeries , pâtisseries , boucheries et les bars implantés tout autour de la place jules Grévy contribuaient à l’attractivité d’un site bien ancré dans la tradition avec ses magnifiques flamboyants , cette fontaine datant de 1864 et ses bancs tout autour.


Le temps a fait son œuvre. L’éclosion des supermarchés et les nouvelles habitudes des consommateurs ont eu raison de nos épiceries et de nombreux marchés traditionnels.   Rénové sous la mandature de l’ancien maire , Alexandre Mouriesse , l’ancien marché baptisé Galerie d’Histoire et de la Mer abrite une exposition permanente qui retrace l’histoire du Carbet depuis l’époque Amérindienne grâce à des panneaux explicatifs. Des panneaux sont consacrés également à la pêche traditionnelle sur la côte Caraïbe. 


Durant les deux mandatures précédentes la galerie a été le lieu de multiples manifestations culturelles et de réunions d’associations. Ainsi donc l’ histoire de l’ancien marché nous amène à dire que l’homme occupe en permanence les lieux historiques en les réutilisant ou en les transformant.


L’inscription de notre ancien marché au titre des monuments historiques contribue à nous rappeler et fixer les moments d’un passé qui a fui et que la mémoire réactive. Elle permet en outre de faire émerger une identité du territoire. Le 1er Adjoint en charge du patrimoine au cours de ces deux précédentes mandatures a travaillé avec passion à l’obtention de cette inscription qui est une étape vers la réhabilitation de ce pan du patrimoine.

Après le déconfinement : Le Carbet vous accueille

La date du 2 juin qui correspondait au début de la deuxième phase du déconfinement a été accueillie avec un grand soulagement par les socioprofessionnels du Carbet. Elle correspondait à l’ouverture des restaurants , des snacks , des activités nautiques et la reprise dans d’autres secteurs d’activités. L'autorisation d’accéder  aux différents sites était aussi attendue par les touristes , visiteurs et résidents qui fréquentent nos plages , notre rivière des Pitons ou les sentiers de randonnée.  


Certains restaurateurs avaient fait le choix de poursuivre leurs activités durant le confinement .Ils se sont adaptés à la situation en modifiant leur carte et surtout en proposant des plats à emporter. Aujourd’hui ils sont heureux de rouvrir et d’accueillir le public en respectant les mesures de distanciation.

Pour l’un des restaurateurs de la place : “ Les enjeux sont clairs : rassurer la clientèle et l'équipe. Notre identité ne change pas, nous renforçons le protocole sanitaire et gardons ce qui fait notre marque de fabrique : la valorisation des produits locaux dans un esprit "good vibes", la bonne humeur, les bonnes vibrations. Notre identité ne change pas.”


La crise sanitaire a renforcé les convictions. Les pêcheurs et les producteurs ont plus que jamais besoin de ce tissu économique pour vivre. Chacun apporte , à sa manière , sa pierre à l’édifice.

Depuis le début du déconfinement, le Carbet retrouve progressivement sa fréquentation habituelle notamment au niveau des plages et aussi de notre belle rivière qui attire de plus en plus de visiteurs qui découvrent, pour certains, les bassins et cascades au coeur d’une nature apaisante. Un bon point pour les acteurs du secteur économique qui ont gardé le moral tout en se préparant aux nouvelles dispositions de l’après confinement En mode «  warrior », ils affrontent le manque de touristes tout en se disant que l’arrivée des grandes vacances sera l’occasion de relancer la machine.


La ville du Carbet , par le biais de la page facebook des «  Pros », a communiqué aux entreprises , tout au long de la crise, les informations utiles concernant les aides mises en place par l’Etat et la CTM. La ville continuera dans cette voie de la communication et de l’information utiles vers nos entreprises en proie à de réelles difficultés en cette période de crise sanitaire.

Le Kréol Food & Rhum  au Restaurant Pélican Beach au Carbet

Le Kréol Food & Rhum au Carbet

Pour cette deuxième édition du KFR, des chefs cuisiniers des Antilles-Guyane, de huit pays de la Caraïbe, du Canada et de France ont fait escale au  Pélican Beach au Carbet lors de leur séjour en Martinique.

Un mercredi qui laissera sans aucun doute des souvenirs inoubliables avec des images plein la tête !!  En une journée, ils ont plongé dans les saveurs de la tradition Carbétienne avec simplicité et convivialité ! 

Ils ont d’abord découvert le “coup de senne “ , tradition du bord de mer avec l’équipage de Joël GRIFFIT , marin-pêcheur aguerri, qui a expliqué toutes les étapes de cette activité pratiquée au quotidien par nos marins-pêcheurs. Belle prise avec des sardines et des harengs!! Mais il fallait tirer fort pour recevoir sa part de poisson. Une expérience nouvelle pour la majorité des chefs présents.


Joël GRIFFIT :  Marin pêcheur du Carbet “ Nous sommes toujours heureux de faire connaître cette tradition du coup de senne aux personnes de l’extérieur. Et le plus important c’est de ne jamais perdre cette technique de pêche et ce partage autour qui tend à disparaître sur nos côtes. “


Sébastien RIPARI : Fondateur du bureau  d’études gastronomie et Coordonnateur du Kreol Food Festival 

“  Beaucoup de générosité, d’abord dans le partage du poisson. C’est quelque chose qui a touché tout le monde. Ce côté communautaire est vraiment formidable. Il suffit de venir tirer le filet pour avoir sa part de poisson. Je trouve que c’est socialement très intelligent. C’est également une belle plage, bien entretenue , un endroit de rêve. Cela a été une très belle expérience pour tout le groupe “


Les chefs eux aussi ont apprécié ce partage et ont découvert les dégustations du chef cuisinier Jean-Louis Strafforelli, qui les a accueillis dans son restaurant le « Pelican Beach ».  Autre moment de partage et de convivialité autour de la découverte du trempage préparé par l’équipe “Les Trempaj d’Axel “ avec le chef Luc-François DENIS !


Axel : Responsable des Trempages Variés 

“On a été sollicité par le responsable du restaurant pour cette prestation dans le cadre de la KFR. Il fallait sortir de l’ordinaire en préparant un trempage hors du commun. Nous avons choisi les écrevisses de « Mangatal » . Pour nous c’est une belle occasion de faire connaître ce que l’on fait, mais aussi de montrer que cette tradition ne meurt pas et que nous sommes là pour la faire partager. Pari réussi à mon avis ! ”


Christopher Santiago Figueroa : Porto Rico - Ancien Chef du « Mi Casa » à Porto Rico, puis enseignant en gastronomie

“  Je suis vraiment heureux d’être là, dans cette belle commune avec une plage magnifique, des gens accueillants, mais surtout cette convivialité présente à chaque instant. Nous avons visité et dégusté les Rhums Neisson . La visite de votre belle ville n’est pas terminée. Cacao et glaces spéciales sont au menu ! En tout cas toutes les saveurs que nous avons découvertes montrent l’excellence de la scène culinaire créole et martiniquaise. Cela nous incite à promouvoir le patrimoine et les savoir-faire de la Martinique. « 


Jusqu’au 26 octobre, des chefs illustres, dont des Martiniquais, feront découvrir aux professionnels, apprentis et grand public, l’art de composer des menus créoles et savoureux avec des produits du terroir. Un Kréol Food Festival qui a pour objectifs de valoriser le secteur de la restauration par l’excellence, faire connaître aux jeunes les multiples métiers de la restauration ,  permettre la rencontre des Chefs étoilés de renommée internationale et enfin de promouvoir la destination Martinique. 

Label « Qualité Tourisme » Les Restaurants du Carbet dans la qualité et l’innovation


Pour la promotion 2018 qualité tourisme, la Chambre de Commerce et d’Industrie de Martinique a remis le label «  Qualité Tourisme «  à trois restaurants du  Carbet :   Les Arômes, Le Pelican Beach, Le Beach Grill. Une distinction qui représente pour eux un signe de reconnaissance nationale  valorisant ainsi  l’accueil et les prestations de qualité.  


Une fierté pour les restaurateurs et une image pour la ville !


La thématique culinaire se déploie sur l’ensemble du territoire communal avec des commerces, des lieux de restauration notamment sur notre plage de sable noir ainsi que sur d’autres sites pour le plus grand plaisir des touristes et visiteurs. Le savoir-faire et les talents sont mis en valeur dans tous ces espaces qui forment un véritable parcours du bien-vivre.


Aujourd’hui le Carbet enregistre un taux de fréquentation qui le place en bonne position parmi les communes les plus attractives. Les plages et les restaurants très fréquentés, durant le week end notamment, sont des indicateurs de cette attractivité grandissante.


Les restaurants du Carbet, dans leur diversité, s’inspirent aussi bien de la tradition que de l’imaginaire. L’enjeu touristique et économique impose des règles à tous. Il faut être compétitif en proposant une cuisine actuelle, une cuisine de goût qui valorise les produits du terroir et qui se réinvente au quotidien dans nos assiettes. Ce florilège de goûts et de saveurs se partage et se transmet grâce au savoir-faire de nos restaurateurs à travers leurs diverses enseignes: Le Pélican Beach, Loulou Flamme, Le Petit bonum, l’Effet Mer, Kay jacko, L’Imprévu, , Le Beach Grill, Le 1643, L’Abri Côtier , Les Arômes.


Les restaurateurs de la plage sont complémentaires et proposent une grande diversité de plats avec un point essentiel : des produits du terroir. Les agriculteurs, les marins pêcheurs, et l’aquaculteur de la commune sont leurs principaux fournisseurs.


Les  distinctions qu’ils reçoivent sont gage de qualité au niveau de  l’accueil et du service. Une distinction qui pourrait inciter nos restaurateurs à participer  à la première édition du concours des Arts de la Table des Outre-mer : le Caribbean Trophy Table Art « ..


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